Reboiser, recréer des milieux naturels

Picto, icone arbre

Enjeux

  • Développer des forêts urbaines, conforter les trames vertes, reboiser
  • Créer des zones de quiétude ou de libre évolution pour la biodiversité
  • Sanctuariser certains sites ou parties de sites
  • reboisement urbain
  • renaturation

Le développement des forêts urbaines s’impose aujourd’hui comme une solution essentielle pour renforcer la résilience des villes face aux défis environnementaux. En parallèle, il est crucial de conforter les trames vertes, véritables corridors écologiques, afin de favoriser la continuité des espaces naturels et la circulation de la faune. Le reboisement en milieu urbain, qu’il soit via des processus de reboisement naturel ou planifié, contribue à recréer un équilibre entre espaces bâtis et naturels. Cela permet également de sanctuariser certains sites ou parties de sites, en les protégeant de toute intervention humaine, ou de développer des zones de quiétude ou de libre évolution pour la biodiversité. La renaturation des espaces dégradés devient ainsi un axe central pour réintégrer la nature au cœur des villes et offrir des refuges pour la faune et la flore locales.

L’urbanisation fait disparaitre les sols perméables mais également des zones humides, indispensable pour la diversité des écosystèmes. En effet, la zone humide est un milieu écologique complémentaire aux boisements, bosquets, prairies et vergers. Elle permet une diversification de la flore et de la faune. La présence d’eau permet à diverses espèces de s’y installer et se développer.

Par ailleurs, la zone humide joue un rôle dans la qualité de l’eau avec des fonctions d’épuration des eaux, de tamponnement et restitution régulière de l’eau stockée. Elle permet aussi de rafraîchir l’air.

 

La lisière boisée est un espace clé. En bordure de forêt, elle agit comme une zone de transition entre les espaces boisées et les milieux ouverts pour former un corridor écologique. Les lisières doivent représenter une zone arbustive aussi variée que possible pour fournir des gîtes et couvert à une faune nombreuse .

Le verger est un milieu particulier.  A l’état naturel, ce type de végétation n’existe pas. Il s’agit d’une création humaine. La plantation d’un verger est propice à l’installation de plusieurs espèces d’oiseaux. Les arbres fruitiers, en vieillissant, développent des cavités utilisées par diverses espèces comme mésanges, huppes ou chouettes.

Certains vergers permettent également de planter des arbres rares et locaux. 

Les premières plantes qui s’y développent sont des plantes annuelles, progressivement remplacées par des espèces bisannuelles, puis vivaces pour former un tapis herbacé qui, selon la richesse du sol, sera plus ou moins haut. Les prairies ne se maintiennent que sous l’action des herbivores sauvages ou domestiques ou l’action humaine, par des fauches répétées.

Effectivement, les aménagements à vocation environnementale et sociétale réalisés par ECT ne coûtent rien à la collectivité, ni au propriétaire foncier du site. Développer les territoires et leur attractivité sans coût pour la collectivité, c’est possible par la mise en œuvre des principes d’une économie circulaire appliqués aux terres excavées des chantiers.

En effet, le métier d’ECT  est de gérer les terres excavées du BTP et de transformer des sites délaissés et des friches  La réutilisation des terres inertes sur ces sites en déshérence finance leur transformation. 

  • Le BTP rémunère ECT pour la gestion (ingénierie environnementale caractérisation, traçabilité, accueil) de ses terres excavées excédentaires
  • Sur le site à transformer, la réutilisation et la valorisation des terres excavées financent 100 % du projet de réhabilitation et  réalisée en concertation avec la collectivité.
  • ECT restitue pour un 1 € l’aménagement finalisé à la collectivité qui bénéficie ainsi d’un nouvel aménagement sans frais, pour 0 €.

 

 

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